.st1{display:none}Hot

AMERIQUE DU SUD: L’Essequibo, entre rivalité territoriale et conflits d’influence.

« Les découvertes d’hydrocarbures intensifient les rivalités, inscrivant l’Essequibo au cœur du duel sino-russe vs américain, avec un Brésil en retrait », un avis de l’expert Raphael Padula qui met en lumière l’intensification géo-économique entre le Venezuela et Guyana. À Georgetown, début mai, une tension stratégique a surgi lorsque le Venezuela a organisé des élections symboliques dans la région contestée de l’Essequibo, invoquant même un référendum de 2023 pour justifier leur démarche. D’abord présentés à Caracas comme l’expression d’un droit historique, ces scrutins ont pourtant été dénoncés comme un « assaut » frontal contre la souveraineté guyanaise par le président Ifraan Ali, qui a dénoncé une menace à la paix régionale.

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Elections présidentielles historiques en Corée du Sud 

Presque six mois après la crise politique provoquée par la loi martiale instaurée par Yoon Suk Yeol le 3 décembre 2024, les sud-coréens retournent aux urnes ce mardi 3 juin pour élire leur nouveau président. Le 4 avril 2025, la Cour Constitutionnelle de Corée du Sud avait confirmé la destitution de l’ancien président conservateur Yoon Suk Yeol. Cet évènement historique avait mobilisé les sud-coréens qui ont manifesté en masse pour manifester leur souhait de voir disparaitre Yoon du paysage politique. Les semaines qui ont suivi étaient dédiées aux primaires, la sélection des candidats qui se présentent aux élections anticipées. Les parti démocrate « Minju » a fait campagne tout le long du mois d’avril dans Séoul pour promouvoir ses candidats, dès le lendemain de la décision de la Cour Constitutionnelle.

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Le Vietnam face aux défis mondiaux : entretien avec l’Ambassadeur Mai Phan Dung

À l’occasion du 50ịeme anniversaire de la réunification du Vietnam, nous avons rencontré S.E. Mai Phan Dung, Représentant permanent du Vietnam auprès de l’ONU à Genève. Dans cet entretien exclusif, le diplomate revient sur la mémoire du 30 avril 1975, les leçons de l’histoire vietnamienne, et détaille la vision stratégique de son pays dans un monde en recomposition.

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.st1{display:none}International Geneva

.st1{display:none}War & Peace

Crise Iran–États-Unis : « Nous saluons le rôle de la Suisse », déclare l’ambassadeur iranien à Genève

La rédaction

Dans un contexte de vives tensions entre l’Iran, les États-Unis et Israël, l’ambassadeur iranien à Genève salue le rôle de médiateur que pourrait jouer la Suisse. Ce matin, lors d’une conférence de presse tenue au Palais des Nations devant l’Association des correspondants accrédités auprès de l’ONU (ACANU), l’ambassadeur iranien auprès de l’ONU à Genève, Ali Bahreini, a été interrogé sur le rôle éventuel que pourrait jouer la Suisse dans la crise actuelle. Il a répondu sans détour : « Nous saluons vraiment le rôle du gouvernement suisse pour jouer un rôle positif dans la résolution des tensions entre l’Iran et les États-Unis. » La Suisse représente officiellement les intérêts américains en Iran depuis 1980. « Elle a facilité l’échange de messages entre l’Iran et les États-Unis, et nous lui en sommes reconnaissants. »

.st1{display:none}Economy

.st1{display:none}Analysis

La France face aux défis du Moyen-Orient : entre héritage, diplomatie militaire et influence culturelle

Observatoire Geostrategique de Geneve

Longtemps présente dans les enjeux stratégiques du Moyen-Orient, la France fait aujourd’hui face à un défi majeur : maintenir sa pertinence dans une région bouleversée par des crises géopolitiques persistantes. Dans son étude, Martin Lagarde, stagiaire à l’Observatoire Géostratégique de Genève, analyse avec clarté les lignes de force d’une diplomatie française en recomposition, entre héritages historiques, positionnement militaire, coopération économique et rayonnement culturel.

.st1{display:none}Opinions

.st1{display:none}Cyber

Neutralité suisse et IA militaire : un label contre la guerre des algorithmes

La rédaction

Alors que les systèmes d’armes autonomes s’invitent sur les champs de bataille et que les négociations internationales s’enlisent, le spécialiste Axel Mazolo propose un contre-modèle helvétique : un label de certification des algorithmes militaires. Une initiative à la fois technique et diplomatique, fidèle à l’ADN de la neutralité suisse. Genève. À l’ère où la guerre devient numérique et les décisions létales se prennent en millisecondes, le contrôle humain sur la machine s’effrite. Dans ce contexte inédit, la Suisse, gardienne historique du droit humanitaire, peut-elle encore jouer un rôle moteur ? Pour Axel Mazolo, docteur en administration et expert en gouvernance de l’intelligence artificielle, la réponse est un « oui » ferme — mais il faudra innover.

.st1{display:none}Videos & podcasts

Gilles Kepel: « l’ordre établi en 1945 n’est plus respecté »

Spécialiste du monde arabe et auteur de plusieurs ouvrages qui font référence, Gilles Kepel était dernièrement l’invité de la section suisse de la Société des …

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